Vous avez posté dans ce sujet. introduction Nolweig Egide de sufokia( sa permiere vie)
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Vous avez posté dans ce sujet. introduction Nolweig Egide de sufokia( sa permiere vie)
livre 1 sang et gloire
Chapitre 2 :Du souffre dans la vapeur
En fin de matinée le brouillard marin s’épaissit, les jets de vapeurs des sufokiens n'étaient même plus visibles à l'horizon. Et c'est dans cette atmosphère ouatée que les shushu faisaient leurs attaques,
d'ailleurs les hommes avaient déjà commencés à s'équiper, les cors étaient inutiles,
ils venaient, c'était tout. Peu à peu l'odeur de soufre flottait dans l'air, d'abord imperceptible puis de plus en plus insistante.
Sans un mot, les hommes se déplaçaient vers les murailles, il ne fallait pas faire de bruit, les shushu devenaient nerveux avec le bruit, ça les rendaient plus agressifs. Alors silencieusement, les archers bandaient leurs arcs, visaient et décochaient leurs traits mortels transperçant l'air gravement. Aucun ordre n'avait besoin d'être donné, nous nous battions depuis trop longtemps. Les râles rocailleux
emplissaient, l'air, l'odeur de souffre était maintenant très forte, à en avoir
la nausée.
Lorsque les informes ne sont plus qu'a quelques mètres, de la porte principale, je dégaine, jridk't, la fureur du combat s'empare de moi.
-une fois plus, prête moi donc ta force! je lui chuchote au pommeau
"libère moi on en reparle après"
Elle lutte encore, et une fois de plus sa fureur ma brûle la main. "POUR LA DIVINE!!" hurle-t-on en cœur, en sautant du haut rempart j'entend crier mon nom"orkenen"! Le carnage peut débuter, pas d'estocade contre les shushu, ça non je fend leurs rangs à grand renforts de taille et d'entaille. Les shushu n'ont pas à proprement parlé d'organe vitaux, pour s'en débarrasser, il faut les découper, les casser en deux, briser leurs os de granites. Tenant, jrikt à pleine main,même mes gants de forgerons peinent à retenir la douleur
de la lame visiblement rebelle à l’exécution de ses congénères..."libère-moi"
Qu'à cela ne tienne, mon bras dessine de grand arc de cercles, l'air est tout juste respirable et les yeux me
piquent. Cette fois-ci, ils sont vraiment nombreux, je pare le coup d'un colosse avec le talon de l’estramaçon, je le repousse et enchaîne sur coup de pied circulaire à son genou. Il s'affaisse légèrement, je lui assène un coup de boule dans le torse qui cède, je plante jrik't dans sa poitrine, puis saisit sa lourde tête de me bras puissants. d'un coup de talon je passe par dessus lui et ayant ainsi son crâne dans mes bras
je tire d'un coup sec. Ses cervicales émettent un craquement sinistre, lui un râle pathétique."libère-moi"
Mais déjà une griffe frôle mon épaule, mon coude vient percuter sa mâchoire tandis que je peine à extraire jrik't du cadavre du colosse. Quand enfin l'estramaçon me revient, les shushus sont rassemblés autour de moi, chose qu'il ne faisaient pas avant, l'heure du combat final a sonné. Je raffermis ma prise et plonge dans la mêlée fauchant à tour de bras, ici et là. Je ne cherche plus à parer les coups, c'est impossible, chaque plaie chaque douleur m’entraîne un peu plus profondément dans la tombe. Jrik't se fait de plus en plus réticente, je peine désormais à la soutenir.J’ahane comme une dragodinde asthmatique, si seulement je pouvais regarder le ciel une dernière fois..."libère-moi"
Un bloc de deux mètres de diamètre vient s'écraser à trois pas roulant sur les shushu les broyant de son poids. Ce n'est que lorsque j'ai enfin put atteindre le projectile que je compris mon erreur: le brouillard était monté et les créneaux étaient à peine discernables les archer ne pouvant plus soutenir personne, les hommes avaient battu en retraite, sans la sonner. Pour ne pas énerver les shushus. Le ciel n'était pas visible,il fallait encore tenir..."libère-moi"
je descendis du roc pour me mettre dos à lui, ensemble, nous vaincront ces abominations.De toute façon je tenais plus debout.Les heures s’égrainaient lentement, et finalement, je pouvais voir à travers la horde, je redoublait d'efforts, de rage, de détermination,ils crèveraient tous, mort à eux! "libère-moi"
"Brokle!!!" les shushu restant sont soufflés, balayés par l'explosion tandis que je m'écroule contre la
pierre moussue, le ciel est encore gris..."libère moi"
Chapitre 2 :Du souffre dans la vapeur
En fin de matinée le brouillard marin s’épaissit, les jets de vapeurs des sufokiens n'étaient même plus visibles à l'horizon. Et c'est dans cette atmosphère ouatée que les shushu faisaient leurs attaques,
d'ailleurs les hommes avaient déjà commencés à s'équiper, les cors étaient inutiles,
ils venaient, c'était tout. Peu à peu l'odeur de soufre flottait dans l'air, d'abord imperceptible puis de plus en plus insistante.
Sans un mot, les hommes se déplaçaient vers les murailles, il ne fallait pas faire de bruit, les shushu devenaient nerveux avec le bruit, ça les rendaient plus agressifs. Alors silencieusement, les archers bandaient leurs arcs, visaient et décochaient leurs traits mortels transperçant l'air gravement. Aucun ordre n'avait besoin d'être donné, nous nous battions depuis trop longtemps. Les râles rocailleux
emplissaient, l'air, l'odeur de souffre était maintenant très forte, à en avoir
la nausée.
Lorsque les informes ne sont plus qu'a quelques mètres, de la porte principale, je dégaine, jridk't, la fureur du combat s'empare de moi.
-une fois plus, prête moi donc ta force! je lui chuchote au pommeau
"libère moi on en reparle après"
Elle lutte encore, et une fois de plus sa fureur ma brûle la main. "POUR LA DIVINE!!" hurle-t-on en cœur, en sautant du haut rempart j'entend crier mon nom"orkenen"! Le carnage peut débuter, pas d'estocade contre les shushu, ça non je fend leurs rangs à grand renforts de taille et d'entaille. Les shushu n'ont pas à proprement parlé d'organe vitaux, pour s'en débarrasser, il faut les découper, les casser en deux, briser leurs os de granites. Tenant, jrikt à pleine main,même mes gants de forgerons peinent à retenir la douleur
de la lame visiblement rebelle à l’exécution de ses congénères..."libère-moi"
Qu'à cela ne tienne, mon bras dessine de grand arc de cercles, l'air est tout juste respirable et les yeux me
piquent. Cette fois-ci, ils sont vraiment nombreux, je pare le coup d'un colosse avec le talon de l’estramaçon, je le repousse et enchaîne sur coup de pied circulaire à son genou. Il s'affaisse légèrement, je lui assène un coup de boule dans le torse qui cède, je plante jrik't dans sa poitrine, puis saisit sa lourde tête de me bras puissants. d'un coup de talon je passe par dessus lui et ayant ainsi son crâne dans mes bras
je tire d'un coup sec. Ses cervicales émettent un craquement sinistre, lui un râle pathétique."libère-moi"
Mais déjà une griffe frôle mon épaule, mon coude vient percuter sa mâchoire tandis que je peine à extraire jrik't du cadavre du colosse. Quand enfin l'estramaçon me revient, les shushus sont rassemblés autour de moi, chose qu'il ne faisaient pas avant, l'heure du combat final a sonné. Je raffermis ma prise et plonge dans la mêlée fauchant à tour de bras, ici et là. Je ne cherche plus à parer les coups, c'est impossible, chaque plaie chaque douleur m’entraîne un peu plus profondément dans la tombe. Jrik't se fait de plus en plus réticente, je peine désormais à la soutenir.J’ahane comme une dragodinde asthmatique, si seulement je pouvais regarder le ciel une dernière fois..."libère-moi"
Un bloc de deux mètres de diamètre vient s'écraser à trois pas roulant sur les shushu les broyant de son poids. Ce n'est que lorsque j'ai enfin put atteindre le projectile que je compris mon erreur: le brouillard était monté et les créneaux étaient à peine discernables les archer ne pouvant plus soutenir personne, les hommes avaient battu en retraite, sans la sonner. Pour ne pas énerver les shushus. Le ciel n'était pas visible,il fallait encore tenir..."libère-moi"
je descendis du roc pour me mettre dos à lui, ensemble, nous vaincront ces abominations.De toute façon je tenais plus debout.Les heures s’égrainaient lentement, et finalement, je pouvais voir à travers la horde, je redoublait d'efforts, de rage, de détermination,ils crèveraient tous, mort à eux! "libère-moi"
"Brokle!!!" les shushu restant sont soufflés, balayés par l'explosion tandis que je m'écroule contre la
pierre moussue, le ciel est encore gris..."libère moi"
nolweig- Messages : 33
Date d'inscription : 04/02/2017
Age : 26
Localisation : clermont-ferrand
Re: Vous avez posté dans ce sujet. introduction Nolweig Egide de sufokia( sa permiere vie)
Essaye de mettre tous t'es post a la suite pour éviter de créer un nouveau sujet a chaque fois.
Chepe- Messages : 113
Date d'inscription : 23/11/2016
Age : 27
Localisation : Bayonne
Re: Vous avez posté dans ce sujet. introduction Nolweig Egide de sufokia( sa permiere vie)
faudra que tu m'explique comment on supprime
nolweig- Messages : 33
Date d'inscription : 04/02/2017
Age : 26
Localisation : clermont-ferrand
Re: Vous avez posté dans ce sujet. introduction Nolweig Egide de sufokia( sa permiere vie)
Je crois que la seul le modérateur du forum peut le faire
Chepe- Messages : 113
Date d'inscription : 23/11/2016
Age : 27
Localisation : Bayonne
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